•  

    « Nous bâtirons un projet migratoire individuel pour une intégration réussie. Ce contrat permettra l’accompagnement personnalisé de l’étranger au moment de son arrivée sur le territoire français, avec la création d’un guichet unique d’accueil et d’insertion. Le régime des cartes de résidences assurera une plus grande stabilité du séjour des étrangers. A cet effet, nous rationaliserons les administrations en charge de l’accueil des immigrés. »

     

    Réussir ensemble le changement, le projet socialiste pour la France, 26 Août 2006. Partie III : refonder la République, chapitre VI : l’immigration partagée, page 76.

     

    « Les socialistes présentent une alternative claire à la politique de la droite. » préface de François HOLLANDE, ouvrage cité ci-dessus.

     

    Mais qui donc a tant changé le Parti socialiste ?

     

    Gérard ESTIOT

    Comme vous avez pu le constater, la publicité voulue par l'hébergeur EKLOBLOG s'affiche dans ce blog. Mes articles vont à l'encontre de cette orientation. Vous pourrez bientôt retrouver mon blog dont je ne change pas le titre : Citoyen du 26 Nord

    à l'adresse suivante :  http://citoyendu26nord.blog.free.fr

    Bien amicalement     Gérard ESTIOT


    votre commentaire
  • La plus importante banque au monde est chinoise. Avec 3.420 milliards de dollars d'actifs, Industrial & Commercial Bank of China (ICBC) arrive en tête du classement publié le 13 avril par S&P Global Market Intelligence. Mieux, les trois places suivantes de ce palmarès reviennent également à des établissements de l'Empire du Milieu, contrôlés, comme ICBC, par l'Etat. China Construction Bank et ses 2.826 milliards de dollars d'actifs arrivent en deuxième position, suivis d'Agricultural Bank of China (2.740 milliards) et de Bank of China (2.589 milliards).

    Vient ensuite Mitsubishi UFJ Financial Group (2.458 milliards), qui, comme son nom l'indique, est japonaise et non chinoise, mais conforte la prédominance de l'Asie dans les toutes premières banques du monde. L'Américaine JPMorgan ne pointe en effet qu'au septième rang, avec 2.351 milliards de dollars d'actifs, devant BNP Paribas (2.165 milliards), Bank of America (2.144 milliards) et le Crédit agricole (1.845 milliards). Article de Christine LEJOUX, LaTribune.fr du 19 avril 2016.

    Que se passerait - il si ces "too big to fail" s'effondraient?  Gérard ESTIOT


    votre commentaire
  •  

    Les candidats du parti les Républicains à la primaire sont tous d’accord pour utiliser le système d’ordonnances le plus tôt possible après les élections législatives pour faire passer leurs réformes : Bruno Le Maire, François FILLON et Alain JUPPE. Nicolas SARKOZY, lui, recommande de les faire appliquer tout de suite pour éviter de longs débats à l’Assemblée Nationale : « Il faut faire les choses en juillet et non pas attendre de revenir en décembre en seconde session où on vous attend avec l'arquebuse", a affirmé M. Sarkozy » Challenges.fr du 23 mars 2016.

     

    C’est légalement possible par le Constitution : « Selon l'article 38 de la Constitution, le gouvernement peut faire passer ses réformes par ordonnances, sans passer par le Parlement, auquel il doit tout de même demander l'autorisation de légiférer par ce biais. Les ordonnances entrent en vigueur dès leur publication, mais un projet de loi de ratification doit être déposé devant le Parlement. » idem cité ci – dessus.

     

    D’où l’importance de faire échec à la Droite et à l’ Extrême Droite aux élections présidentielles et législatives et à envisager une Constitution de la VI° République en devenir beaucoup plus démocratique que celle de la V° République.

     

    Gérard ESTIOT

     


    votre commentaire
  •  

    Une évidence tellement simple

     

    Pour fonctionner les sociétés financières opaques offshore et on shore doivent détenir un compte bancaire. Tout simplement pour faire transiter les sommes d’argent frauduleusement cachées au fisc. D’où les relations étroites entre les banques et les sociétés financières opaques.

     

    Un des très gros avantages des Panama Papers est de mettre la lumière sur ce type de relation. Y compris en éclaboussant le tout nouveau Président de la fédération des banques privées allemandes.  Hans- Walter Peters, qui vient d’accéder à ce poste en remplacement du patron de la Deutsche Bank, est visé par les révélations du pôle des journalistes ayant enquêté sur ces pratiques délinquantes. Qui est Hans – Walter Peters ? C’est le patron de la banque séculaire BERENBERG, installée à HAMBOURG, mais aussi au Luxembourg et en Suisse. Cette banque possède plusieurs centaines de sociétés offshore (comme la Société Générale chez nous).

     

    Les mesures à prendre sont alors très simples : interdire la création de sociétés off shore et on shore par les banques par un contrôle beaucoup plus strict de l’activité de ces banques par les autorités d’Etat, poursuivre pénalement et financièrement les banques qui fraudent. Et surtout condamner  juridiquement et financièrement les Etats européens qui sont des paradis fiscaux : un seul exemple : « Ainsi, parmi les plus de 500 banques qui ont enregistré près de 15 600 sociétés-écrans avec Mossack Fonseca, figurent Experta Corporate & Trust Services, Banque J. Safra Sarasin Luxembourg S.A., Société Générale Bank & Trust Luxembourg, et Landsbanki Luxembourg SA. » Le Quotidien, indépendant  luxembourgeois du 14 avril 2016, article Panama Papers au Luxembourg : la CSSF réclame des comptes aux banques.

     

    Gérard ESTIOT

     


    votre commentaire
  •  

    Pourquoi les mesures exprimées dans les trois derniers articles sont nécessaires

     

    Les sommes d’argent qui transitent dans les paradis fiscaux pour échapper à l’impôt national et se placer dans la « meilleure » optimisation fiscale sont énormes alors que les multinationales qui les placent bénéficient souvent de l’argent public. Aux USA c’est « une somme qui représente près de la moitié du PIB annuel français. Selon Ofxam-USA, ces 1.400 milliards de dollars ont transité via un réseau "opaque et secret" de 160 filiales dans des paradis fiscaux. Pendant cette période, ces mêmes entreprises ont pourtant été les "principales bénéficiaires du soutien des contribuables" américains en étant les destinataires de 11.000 milliards de dollars de fonds publics via des garanties sur prêts ou des aides fédérales directes, indique le rapport. » LaTribune.fr, le 14 avril 2016.  

     

    Il faut donc ajouter d’autres mesures aux précédentes déjà énoncées : l’obligation de rendre des comptes de l’argent public utilisé, la possibilité de saisie par l’Etat des fonds financiers, mais aussi des bâtiments des sociétés indélicates, l’obligation pour ces sociétés de maintenir l’emploi et l’interdiction des délocalisations.

     

    Gérard ESTIOT   

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires