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    Marche blanche pour les blessées - Gilets jaunes   1 marche organisée à Paris

     

    Hommage aux disparus, mutilés et blessés :  Trajet / parcours: départ Place Félix Eboué en direction de République.  Pl. Félix Éboué > Av Daumesnil > Rue Moreau > Hôpital 15/20 > Bastille > Bd Beaumarchais > République (voir carte à droite)

     

    Après un temps de parole, les blessés Gilets jaunes ouvriront la marche. Pendant la manifestation, une pause aura lieu pour demander l'interdiction des armes type Flashball LBD40, etc.  Marche pacifique, sans violence.

     

     Il est demandé aux manifestants de bien vouloir venir en se mettant des pansements sur l'oeil, des bandages, de mettre du rouge sur les gilets jaunes en guise de sang...

     

    Manifestation « Acte 12 : l'impact ! » Organisé par des blessés   Cette manifestation pacifique est officielle et déclarée !   


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  • Après 28 jours d'absence, NABOTOR est revenu et a lu à lui tout seul 231 pages de mon blog.

    Était - il en vacance ou malade?

    Gérard ESTIOT


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  • Après 28 jours d'absence, NABOTOR est revenu et a lu à lui tout seul 231 pages de mon blog.

    Était - il en vacances ou malade?

    Gérard ESTIOT


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    Annick Coupé Le choix fait, dans la continuité, par les gouvernements successifs a été dicté par un « totem » : celui de baisser les dépenses publiques à tout prix et quelles qu’en soient les conséquences. Ce choix était dicté par la volonté de baisser les impôts payés par les entreprises, et notamment par les plus grandes, et par les personnes les plus riches. Si moins d’argent rentre dans les caisses de l’État, il faut bien baisser les dépenses publiques ! L’instrumentalisation du « poids de la dette » a été un argument central, en oubliant de dire pourquoi la dette s’était creusée, le rôle des marchés financiers ou le choix fait d’interdire aux banques centrales de financer l’économie… Les cadeaux faits aux entreprises, là aussi aux plus grosses (comme la baisse des cotisations sociales, le Cice, etc.), sans aucune contrepartie en matière d’emploi, pèsent aussi sur les finances publiques. Autre élément : les attaques portées sur les services publics de réseau (poste, télécoms, énergie, transports, etc.) se sont traduites par des logiques de privatisation et d’ouverture à la concurrence, qui ont permis à des entreprises privées de s’installer sur les secteurs rentables et de recréer des quasi-monopoles mais privés, dont les bénéfices vont dans les poches des actionnaires et non plus dans les recettes publiques. Rappelons qu’un des principes fondateurs des services publics était la notion de « péréquation » : ce qui pouvait être rentable servait à financer les services qui ne pouvaient être rentables…

     


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  • Retour sur l'utilité des services publics: comparons avant et maintenant:

     

    "Rappelons que le « chantier de modernisation des services publics » a été lancé par Michel Rocard, alors premier ministre de François Mitterrand, en 1988 : l’argument était déjà que ceux-ci n’étaient plus en adéquation avec la société contemporaine. Le premier de ces chantiers a été la fin du service public des PTT, le changement de statut des personnels, la privatisation de France Télécom (devenue une multinationale cotée au CAC 40 et dont la priorité est le niveau des dividendes versé aux actionnaires), la fermeture de bureaux ou agences postales, la multiplication de services payants qui étaient gratuits auparavant. Le dernier « chantier » en date est celui de la SNCF au printemps dernier, avec exactement les mêmes arguments et les mêmes mécanismes qu’il y a trente ans." Annick COUPE dans un entretien croisé sur les  services publics.

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